Au cours des six premiers mois de 2024, le taux de tentatives et de cas de suicide chez les enfants atteint 18 %.

Au cours des six premiers mois de 2024, le taux de tentatives et de cas de suicide chez les enfants atteint 18 %.
Le taux de tentatives et de cas de suicide au cours des six premiers mois de 2024 chez les enfants a atteint 18% sur un total de 75 cas, selon un rapport du Forum tunisien des droits économiques et sociaux.
Le rapport du Forum tunisien pour les droits économiques et sociaux indique que les tentatives et les cas de suicide étaient répartis entre 60 hommes et 13 femmes, les jeunes représentant 47 pour cent du total des cas.
L’espace résidentiel constitue le cadre de base dans lequel les individus décident de mettre fin à leurs jours, et Kairouan occupe toujours la première place en matière de cas et de tentatives de suicide, puisqu’elle a enregistré environ 15 pour cent des cas enregistrés au cours du premier semestre de l’année en cours, suivie par le gouvernorat. de Bizerte, du gouvernorat de Gabès et de Kasserine.
Le Forum a confirmé que les indicateurs de violence maintiennent toujours leur taux élevé habituel au cours du mois de juin, à travers l’exacerbation des cas de violence contre les femmes, en tête de la liste des types de violence les plus fréquents au cours du mois, et l’état de leur situation. Ben Arous arrive en tête du classement des Etats où les cas de violences sont les plus enregistrés.
Les hommes représentaient 55 pour cent de ceux qui ont commis des comportements violents, contre 20 pour cent sous forme de violence mixte, et dans 25 pour cent, l’agresseur était une femme.
Le rapport indique qu’au début du mois de juin dernier, on a enregistré un nouveau meurtre d’une femme dans l’Etat de Kairouan, et à la fin du mois, on a assisté à l’incident d’un mari brûlant sa femme dans l’Etat de Gafsa, et le même jour un autre homme. a écrasé son ex-femme et sa mère avec une voiture.
Le mois a également été marqué par des cas de menaces de mort, de vols, de harcèlement et de viols de femmes et d’enfants, ainsi que d’attaques dans des espaces publics et privés, la rue représentant le principal espace de perpétration d’actes de violence.
Watt

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