Le Syndicat national des journalistes tunisiens a rejeté ce qu’il considère comme une poursuite de la politique d’obscurcissement et de restrictions à la liberté du travail journalistique. La position du syndicat publiée aujourd’hui intervient « après que le Département de Communication de la Chambre des Représentants du Peuple a délibérément privé un groupe de journalistes indépendants et d’institutions médiatiques de couvrir l’excellente séance plénière que le Parlement a tenue aujourd’hui pour prêter le serment constitutionnel du Président de la République, Kais. Saied, lors de son deuxième mandat. Le syndicat a tenu l’Assemblée des représentants du peuple, les régions et les régions ainsi que la présidence de la République pour responsables de ce qui s’est passé, d’autant plus que l’Assemblée des représentants du peuple avait auparavant interdit les médias privés et étrangers.
Khalil Al-Hanashi