La Commission des Droits et Libertés a tenu aujourd’hui, jeudi 18 juillet 2024, une séance au cours de laquelle elle a examiné un certain nombre de propositions et observations formulées par les différentes parties entendues concernant la proposition de loi organique relative à l’organisation des associations, en la présence du parti d’initiative.
Au cours de la discussion, les membres ont présenté un certain nombre de commentaires, qu’ils soient formels, liés à l’amélioration de la rédaction du texte, à la définition précise des termes et à l’adoption d’une méthodologie et d’une tabulation claires, ou en termes de contenu, dans une relation privilégiée. à l’organisation et au maintien de la plateforme numérique pour les associations, à l’augmentation de l’âge minimum pour les directeurs d’associations et à la clarification de certains détails liés au fonds de travail de l’association et du volontariat.
Ils ont également abordé la réglementation de la question du contrôle et de la supervision des associations, en plus de reconsidérer la classification des associations à l’exception de celles qui sont soumises à un cadre juridique particulier.
Dans un autre contexte, ils ont souligné la nécessité d’annoncer s’il s’agit de fusionner des associations ou de former des réseaux. Ils ont insisté sur le contrôle des financements étrangers. Ils ont également discuté de la question de la dissolution des associations, notamment du parti autorisé à le faire.
L’initiative a exprimé son approbation d’un certain nombre de propositions soumises et s’est engagée à reformuler la proposition à la lumière des amendements et des propositions soumises. On a également souligné la nécessité de continuer à écouter les autres parties impliquées dans le projet de loi, ainsi qu’à consulter un expert en droit constitutionnel pour obtenir son avis sur le droit constitutionnel.