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Rédaction d’Assabahnews
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De: Rédaction d’AssabahnewsCette adresse e-mail est protégée du spam. Vous devez activer le JavaScript pour le voir.>
Date : mar. 21 mai 2024, 18h58
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À : Rédaction d’AssabahnewsCette adresse e-mail est protégée du spam. Vous devez activer le JavaScript pour le voir.>
Lors de sa rencontre avec le ministre des Affaires sociales, Saeed : La situation des ouvriers agricoles et des entrepreneurs doit être accélérée.
Lors de son entretien, cet après-midi, mardi 21 mai 2024, au Palais de Carthage, avec M. Malek Ezzahi, ministre des Affaires sociales, le Président de la République, Kais Saied, a évoqué un certain nombre de sujets liés aux affaires sociales en général. , expliquant qu’aujourd’hui nous nous dirigeons progressivement vers l’élaboration d’un nouveau système législatif pour rompre avec l’héritage juridique dont la Tunisie a hérité et qui est devenu obsolète, en plus de la corruption, de l’injustice, de l’injustice et de l’exclusion. Cette étape que traverse notre pays nécessite des perceptions différentes, de nouvelles idées et des concepts qui sont à leur tour compatibles avec une nouvelle pensée politique.
Le Président de la République a également souligné la nécessité d’unir les efforts de toutes les agences de l’État pour que les citoyens tunisiens puissent vivre une vie décente, notamment leur droit au travail, à la santé, aux transports et à l’éducation, qui sont tous des droits fondamentaux. Les droits de l’homme et la politique de l’État ne doivent pas être fondés sur des approches mercenaires et sectorielles, mais plutôt sur une vision d’un projet de libération complète du citoyen et de la nation.
Le Président de la République a également abordé la nécessité d’une nouvelle vision du soutien aux fonds sociaux en concevant différentes méthodes qui leur permettraient non seulement d’atteindre leurs équilibres financiers, mais aussi d’atteindre les objectifs légitimes pour lesquels ils ont été créés.
Le chef de l’État a également souligné la nécessité d’accélérer l’élaboration de nouvelles législations qu’il avait autorisé à réviser, comme celles liées à l’externalisation et aux contrats à durée limitée qui n’atteignent pas la stabilité sociale recherchée par tout travailleur. La description d’une œuvre comme fragile doit également cesser d’être utilisée.
Le Président de la République a évoqué la nécessité d’accélérer le règlement de la situation des ouvriers agricoles et des entrepreneurs qui ont passé des décennies de leur vie à travailler et presque personne ne prête attention à eux aujourd’hui. Il s’agit d’une injustice flagrante qui ne peut pas durer, et qui que ce soit. est visé à l’honneur de la profession doit être traité de manière à préserver son honneur, sa dignité et sa promotion. Dans la passation des honoraires, il doit s’agir d’un processus automatisé. Chaque fois que les salaires sont augmentés, l’ajustement se produit automatiquement. Le Chef de l’Etat a souligné que, tout comme les travailleurs ont droit à un salaire équitable, ceux qui sont orientés vers la retraite ont droit à un salaire équitable.
Le président de la République a conclu que le discours de crise qui a prévalu visait à justifier l’incapacité à élaborer la législation à laquelle aspire le peuple tunisien, il s’agissait plutôt d’un outil de gouvernance et est aujourd’hui devenu un outil de remise en question de la politique de l’État.