Aujourd’hui, lors de la séance plénière du Parlement consacrée à l’examen du projet de loi de finances pour l’année 2025, le chapitre supplémentaire relatif à l’extraction de 50% de ce que l’État dépense pour les frais de formation de chaque diplômé universitaire souhaitant travailler à l’étranger a été retiré, après elle a été formellement abandonnée en raison du retrait de la signature du représentant Fakhr al-Din Fadloun sur cette proposition.
La proposition comprenait des mesures visant à limiter la fuite des cerveaux en payant aux diplômés universitaires dans les domaines de la médecine, de l’ingénierie et des spécialisations de haute technologie qui choisissent de travailler à l’étranger au cours des cinq premières années suivant l’obtention de leur diplôme, 50 % du coût de leurs études universitaires.