Le Président de la République, Kais Saied, lorsqu’il a reçu aujourd’hui mardi au Palais de Carthage, la ministre de l’Éducation, Salwa Al-Abbasi, a appelé à trouver des solutions urgentes pour les enseignants représentatifs sur la base de critères objectifs jusqu’à ce qu’il soit enfin mis fin à cette situation. , après avoir prêté serment suite à sa nomination hier, lundi, pour succéder à l’ancien ministre Mohamed Ali Al-Boughdiri. Le Chef de l’Etat a indiqué, selon un communiqué publié par la Présidence de la République, que la position des enseignants adjoints n’aurait pas été maintenue si les choix effectués dès le début avaient été sains et honnêtes et n’avaient pas été infiltrés par des calculs politiques basés sur solutions formelles et circonstancielles. Il a déclaré que ces choix ne représentaient pas des solutions, mais plutôt des tentatives infructueuses qui n’ont fait qu’exacerber davantage les problèmes, soulignant qu’il est temps de trouver une solution radicale et définitive qui préserve les droits des enseignants et ceux des jeunes. Saeed a renouvelé son souci de faire progresser le secteur de l’éducation en tant que secteur de souveraineté, affirmant qu’il n’y a pas d’avenir pour aucun peuple sans une éducation publique dans laquelle toutes les conditions d’apprentissage sont également accessibles à tous, qui ne doit pas s’arrêter à la simple réception, mais doit se développer. chez les jeunes, la faculté de penser. Il a ajouté que l’éducation est l’éducation et ne consiste pas seulement à recevoir des informations et des connaissances, à passer des examens ou à attribuer des notes, mais qu’elle est plutôt basée sur la science et la stimulation continue pour mettre en œuvre la pensée dans tous les domaines. Kais Saied a également indiqué que l’inscription du Conseil supérieur de l’éducation dans la Constitution du 25 juillet 2022 découle d’un sentiment profond de la place que doit occuper le secteur éducatif, indiquant dans ce contexte que la consultation nationale qui a été organisée à son tour reflète la conviction que toute réforme dans ce domaine doit être une expression de la volonté du groupe national et une incarnation de ses aspirations et choix. Dans ce contexte, le Président de la République a passé en revue de nombreux exemples que la Tunisie a connus dans le domaine de l’éducation. réforme, en se concentrant en particulier sur la loi sur l’éducation qui a été promulguée en 1958, alors que l’Assemblée nationale constituante était en train de rédiger une constitution. 1er juin 1959.