Badr al-Din al-Qammoudi, assistant adjoint du président chargé des relations avec le pouvoir judiciaire et les organes constitutionnels et nationaux, a participé aux travaux de la 35ème session extraordinaire du Comité exécutif de l’Union parlementaire arabe, qui s’est tenue le Mercredi 25 septembre 2024 au Caire.
Au cours de cette réunion, les récents événements auxquels sont confrontés les frères palestiniens ont été discutés et il a été convenu d’inscrire un point d’urgence au nom du Groupe parlementaire arabe à l’ordre du jour de la 149ème Assemblée générale de l’Union interparlementaire.
Ils ont également discuté du travail et des activités des commissions permanentes de l’Union parlementaire arabe et ont développé un mécanisme approprié pour activer son rôle et développer son travail.
Dans son intervention, Badr al-Din al-Qammoudi a affirmé la position de principe et ferme de la Tunisie sur la question palestinienne et son soutien absolu à celle-ci. Soulignant la nécessité de restaurer le droit historique volé du peuple palestinien, qui souffre de la tyrannie de l’entité usurpatrice et occupante de ses terres.
Il a souligné que les dirigeants et le peuple tunisiens se tiennent aux côtés du peuple palestinien dans sa lutte légitime pour restaurer ses droits nationaux, au premier rang desquels son droit à établir son État indépendant sur son territoire avec Al-Qods Al-Sharif comme capitale, et exigent que que tous les appuis et soutiens soient apportés à la résistance palestinienne et libanaise et lui permettent de disposer des moyens de continuité et de fermeté.
Il a souligné l’importance d’unifier la position arabe, surtout dans la situation actuelle face aux signes d’effondrement de l’entité usurpatrice sous les coups de la vaillante résistance et de l’érosion de son tissu économique et social.
Il a également appelé à la formation d’une commission parlementaire arabe chargée de formuler des propositions visant à faire pression sur l’ennemi, compte tenu notamment de la possession d’armes pétrolières, de la géographie et des bourses internationales des pays arabes, et d’étudier la possibilité d’activer le Traité de défense arabe commun. dont les dispositions indiquent que toute agression contre un pays arabe est considérée comme une agression contre le reste des pays, et toute attaque contre un pays arabe est considérée comme une violation flagrante des autres pays.