Le ministre de la Santé, Ali Murabit, a supervisé, ce matin, mercredi 8 mai 2024, dans la capitale, l’ouverture des travaux de l’Alliance africaine de lutte contre la leishmaniose en Afrique (ALC), dont les activités se poursuivront jusqu’au vendredi 8 mai. 10, organisé par le Laboratoire d’Epidémiologie Moléculaire et de Pathologie Expérimentale de l’Institut Pasteur de Tunisie, en partenariat avec… Fondation de Recherche de l’Université d’Ibaden, Nigeria.
Cette alliance est dirigée par la Tunisie, représentée par l’Institut Pasteur Tunisie, en partenariat avec la Fondation pour la Recherche de l’Université d’IBADAN au Nigeria.
L’ouverture s’est déroulée en présence de la directrice générale de l’Institut Pasteur de Tunis, Samia Munif, du directeur général de l’Alliance africaine Leishmania, Ikram Al-Qizani, et du directeur général adjoint de l’Alliance africaine Leishmania, AYOADE ODUOLA, avec la participation de un certain nombre de chercheurs, d’étudiants, de médecins et d’un certain nombre d’experts africains et internationaux pour déterminer le début des activités officielles de recherche et de formation au sein de l’alliance, en plus des efforts de lutte contre la leishmaniose en Afrique.
L’Alliance africaine de lutte contre la leishmaniose représente un partenariat africain global visant à changer le système de lutte contre ces maladies et rassemble sept pays africains, à savoir la Tunisie, le Mali, le Maroc, le Nigéria, l’Algérie, le Soudan, l’Éthiopie et un pays européen, l’Espagne, pour former une alliance stratégique pour renforcer les capacités de recherche et renforcer la coopération entre ces pays.
Ali Al-Murabit a d’ailleurs apprécié les efforts déployés pour former cette alliance afin de faire face aux défis actuels et aux opportunités futures dans la lutte contre ces maladies, soulignant l’importance d’une coopération africaine et internationale conjointe pour lutter contre la leishmaniose en Afrique afin d’atteindre des objectifs communs et que cela Cet événement marque le début d’une nouvelle ère dans la lutte contre la leishmaniose en Afrique.
Le ministre de la Santé a également affirmé l’engagement de la Tunisie à soutenir cette initiative visant à améliorer la santé publique, car cette alliance permettra d’aboutir en termes de coopération scientifique, d’échange d’expériences, d’opportunités de formation de jeunes chercheurs, de développement de la recherche et de renforcement des capacités entre tous ces pays pour atteindre succès dans ce domaine, notamment l’élimination de la leishmaniose en Afrique.