La Tunisie a été élue membre du Conseil ministériel africain pour la météorologie

La Tunisie a été élue membre du Conseil ministériel africain pour la météorologie
La Tunisie a été élue membre représentatif de la région Afrique du Nord au Conseil ministériel africain de météorologie pour la période 2024-2026, à l’issue de la tenue de la sixième session ordinaire de la Conférence ministérielle africaine de météorologie.
Le Conseil ministériel africain pour la météorologie comprendra, outre la Tunisie, l’Ouganda en tant que chef de bureau, la Zambie, membre représentatif de la région de l’Afrique australe, et le Ghana, membre représentatif de la région de l’Afrique centrale, selon un communiqué publié par le Conseil ministériel africain pour la météorologie. Ministère des Transports jeudi soir.
La Tunisie était représentée à la sixième session ordinaire de la Conférence ministérielle africaine de météorologie, tenue hier jeudi, par le directeur général de l’Institut national de météorologie, Ahmed Hammam. A noter que l’institut est un établissement placé sous la tutelle du Ministère des Transports, et du Représentant Permanent de la Tunisie auprès de l’Organisation Météorologique Mondiale.
C’est ce qu’a déclaré le Conseil des ministres africains de la météorologie lors de la première conférence ministérielle tenue à Nairobi, au Kenya (février 2010), à l’initiative de l’Union africaine et de l’Organisation météorologique mondiale, dans une déclaration ministérielle publiée à cette occasion. L’annonce du Conseil est considérée comme l’organisme météorologique gouvernemental au niveau africain, sous la supervision de la Commission de l’Union africaine.
La fonction principale du Conseil des ministres africains de la météorologie est de définir des politiques et des orientations concernant la fourniture de services météorologiques et climatiques pour répondre aux besoins sociétaux, en mettant l’accent sur le travail de sensibilisation à cet égard.
Le Conseil vise également à renforcer les capacités des pays africains à s’adapter au changement climatique et aux phénomènes météorologiques extrêmes en améliorant les services météorologiques et climatiques et en soulignant leur importance pour assurer la sécurité alimentaire, gérer les ressources en eau et réduire les risques de catastrophe, ainsi que d’autres objectifs économiques vitaux. secteurs tels que les transports, l’énergie et le tourisme.
Le Conseil est également chargé de créer un cadre de coopération, garantissant la sécurité, le développement économique et social et l’élimination de la pauvreté au niveau du continent africain, en s’appuyant sur la bonne gouvernance et les applications des sciences météorologiques et des domaines scientifiques connexes, selon la même source. .

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