La rencontre du président de la République, Kais Saied, hier, avec le président de l’Union tunisienne de l’industrie, du commerce et de l’artisanat, Samir Majoul, l’a amené à s’interroger sur l’avenir des relations entre Kais Saied et son entourage, notamment le monde travailliste. Union, la Ligue des Droits de l’Homme, l’Ordre des Avocats et le Syndicat des Journalistes.
Le contexte de la question intervient après avoir observé la distance entre les organisations nationales et le chef de l’État à la lumière de ce qui est décrit comme une stratégie d’ignorance des médias sociaux et politiques.
Il est à noter que Saïed a appelé à soutenir les efforts de l’Etat et même à contribuer à la construction d’une nouvelle histoire pour la Tunisie, en pensant à chacun, quelle que soit sa position.
Le Président de la République a rappelé ce qui est dit dans le texte de la Constitution selon lequel l’Etat tunisien garantit la coexistence entre les secteurs public et privé. Tout comme il cherche à sécuriser les équipements publics, il cherche également à assurer les conditions nécessaires qui garantissent aux employeurs privés de garantir la bonne marche des entreprises. travailler dans un environnement sûr et ne pas faire l’objet de chantage ou d’exploitation et bénéficier de tous leurs droits, car les travailleurs, à leur tour, bénéficient de leurs droits intacts.
Khalil Al-Hanashi