Les syndicats de l’enseignement secondaire et primaire sont toujours à la recherche d’une solution commune à tous les problèmes présentés aux membres des instances syndicales.
Les deux syndicats se rendent compte qu’il n’y a pas de solution aux problèmes sans un retour sérieux à la table du dialogue et en évitant la procrastination et les erreurs de l’opinion publique syndicale et éducative en général.
Les syndicats de l’éducation n’ont pas cessé leurs appels répétés et urgents au ministère de l’Éducation pour qu’il retourne dans la salle de réunion et partage la réalité éducative précaire.
Malgré les démarches croissantes des syndicats pour agir au niveau régional et national et opter pour la grève, l’Autorité administrative sectorielle de l’éducation de base avait précédemment appelé à des manifestations dans les délégations régionales de l’éducation, en organisant une journée nationale de colère devant le Ministère de la Supervision et de la Place de la Kasbah, et un jour en grève.
Malgré tous les développements, cela n’a pas empêché les syndicats de laisser la porte du dialogue entrouverte dans l’espoir que la discussion revienne.
Dans ce contexte, l’Autorité administrative sectorielle de l’éducation de base, dans son document de réglementation professionnelle publié aujourd’hui, a appelé l’autorité de tutelle à ouvrir des négociations sérieuses avec l’Université générale d’éducation de base, exigeant que le procès-verbal de la session du 1er mars 2021 soit converti. dans une convention, le procès-verbal de la séance du 3 mai 2024 soit activé, la subvention à l’effort pédagogique soit créée et le montant de la subvention soit augmenté.
Le règlement de l’autorité sectorielle a renouvelé son adhésion à ce qui était énoncé dans le règlement professionnel issu de la conférence sectorielle tenue en mai 2022.
Khalil Al-Hanashi