Hier, mardi, la Commission des Finances et du Budget a entendu, en séance conjointe avec la Commission des Finances et du Budget du Conseil National des Régions et Régions, la Ministre des Finances, Siham Al-Boughdiri Namsia, et un représentant du Ministère de l’Agriculture, Ressources en eau et pêche, à propos du chapitre 27 du projet de loi de finances relatif aux modalités de soutien aux petits éleveurs de vaches.
Le ministre a indiqué que le chapitre a été remanié en réponse aux commentaires des députés à son sujet en augmentant le montant alloué à cette mesure de 5 MD à 10 MD sur les ressources du Fonds pour le développement de la compétitivité du secteur de l’agriculture et de la pêche. Il a également été précisé que la qualité des cerfs qui seront fournis, qui sont des fermes produites dans des centres agréés par le ministère de l’Agriculture et désignés pour l’élevage de fermes de race pure et d’élevage local ou de fermes importées, a également été fixée. Le recours à cette procédure a également été fixé à quatre ans, du 1er janvier 2025 au 31 décembre 2028. Tout en précisant que le pourcentage de la subvention exceptionnelle ainsi que les conditions, modalités et délais pour en bénéficier seront déterminés conformément aux Une décision conjointe entre le Ministre chargé des Finances et le Ministre chargé de l’Agriculture.
Une discussion a eu lieu, au cours de laquelle les représentants ont souligné l’importance de soutenir le système fourrager parallèlement à cette mesure pour garantir son efficacité, soulignant l’importance d’imposer des sanctions dissuasives pour éviter d’éventuelles violations.
Certains représentants ont suggéré d’inclure dans ce chapitre une autre mesure visant à encourager les éleveurs à ne pas négliger le troupeau, en versant à l’éleveur une subvention d’un montant de 1000 D, répartie selon les stades de croissance de la vache depuis sa naissance jusqu’à sa naissance. est inséminée.
Dans son interaction avec les interventions des députés, la ministre a confirmé que tous les détails liés à cette procédure seront déterminés par décision commune jusqu’à ce que la procédure soit dirigée vers les petits éleveurs de vaches.
Concernant les sanctions, il a précisé que si les violations sont prouvées, le privilège sera retiré et tous les frais dus seront payés.
Concernant le système fourrager, elle a expliqué que l’arrêté n° 25 de 2024 a été pris concernant la création de l’Office national de l’alimentation animale, qui vise principalement à contribuer à l’établissement de stratégies nationales et sectorielles pour la valorisation des ressources fourragères et la gouvernance de leur élimination.
A cet égard, elle a indiqué que des crédits d’environ 56,6 millions de dirhams ont été alloués à cet office dans le projet de budget de l’Etat pour l’année 2025.
Il a également indiqué l’existence de nombreux avantages fiscaux accordés au système d’alimentation animale et de facilités d’octroi de prêts à des conditions faciles et avec des méthodes de financement simplifiées, avec l’élaboration d’une stratégie visant à régir les aliments subventionnés pour améliorer la qualité et réduire les coûts.
Les deux commissions ont accepté la décision sous sa nouvelle forme.