Les élus demandent que les ministres de l’Intérieur et de la Justice soient convoqués pour tenir une séance plénière d’urgence pour délibérer sur la question de la suspension du député Hamdi Ben Saleh.

Les élus demandent que les ministres de l'Intérieur et de la Justice soient convoqués pour tenir une séance plénière d'urgence pour délibérer sur la question de la suspension du député Hamdi Ben Saleh.
L’Assemblée des Représentants du Peuple a voté, lors de la séance plénière tenue au Parlement aujourd’hui mardi, l’acceptation de l’inscription d’un quatrième point à l’ordre du jour de la séance plénière, lié à la demande de convocation des ministres de l’Intérieur et de la Justice à tenir une séance plénière d’urgence. séance pour délibérer sur la question de la suspension du député Hamdi Ben Saleh, avec 66 oui, 8 réservés et 22 non.
Bouderbala a indiqué au début de la reprise de la séance plénière, suspendue pour consultation, que la rédaction originale de la liste des requêtes avait été conservée.
Il convient de noter que la séance plénière a été ajournée après qu’un certain nombre de représentants ont présenté une demande écrite pour inscrire un quatrième point à l’ordre du jour, pour consultation entre les blocs sur la formule finale qui sera adoptée.
Dans un mouvement de protestation, un certain nombre de députés ont placé des banderoles jaunes sur leurs bureaux dans la salle plénière, sur lesquelles on pouvait lire « Injustice Yazi, quittez Hamdi », ainsi que des photos du député arrêté (depuis la semaine dernière). début de séance pendant près d’une heure.
Suite à l’annonce de l’ouverture de la séance, Bouderbala a donné lecture de l’ordre du jour et du texte de la pétition, qui comprenait « l’ajout d’un point à l’ordre du jour de la séance, basé sur le chapitre 98 du règlement intérieur du Conseil, relatif au dépôt d’une demande d’invitation du ministre ». de la Justice et du ministre de l’Intérieur en séance publique d’urgence, sur fond de suspension du député Hamdi Ben Saleh en Une violation flagrante des lois et une violation grave de la constitution, outre de graves violations de ses droits, notamment en procédures de suspension.
Source:Watt

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