Aujourd’hui, le secteur judiciaire entre dans la deuxième phase de ses mouvements de protestation, après l’avoir appelé à porter le badge rouge et à partir de là à manifester devant le Palais de Justice de Tunis ou devant les tribunaux des régions.
L’appel de la Commission est intervenu après le contenu de l’actuelle déclaration du 11 septembre, principalement en raison de la situation judiciaire et de la réalité de l’avocat tunisien pendant le processus contentieux.
La déclaration du général de brigade Hatem Maziou a rencontré une opposition au sein même de la profession juridique, la qualifiant de « faible et ne répondant pas aux attentes des avocats ».
Cette déclaration a également suscité une réaction de la part de l’autorité de contrôle après que le ministère de la Justice ait répondu à ce qui avait été signé par l’Ordre des Avocats.
Il convient de noter dans ce contexte que le général de brigade Hatem Maziou avait rencontré auparavant la ministre de la Justice Leila Jaffal et qu’ils étaient convenus de surmonter les difficultés qui se présentaient, mais cela n’a pas eu lieu et c’était la déclaration finale.
Khalil Al-Hanashi